Verset bibliques : 2 Corinthiens 3:4, 1 Timothée 3:13, Proverbes 28:1)
Cette assurance-là, nous l’avons par Christ auprès de Dieu. Ceux qui remplissent convenablement leur ministère s’acquièrent un rang honorable, et une grande assurance dans la foi en Jésus-Christ. Le méchant prend la fuite sans qu'on le poursuive, Le juste a de l’assurance comme un jeune lion.
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Actes 17 : 27-28 Il a voulu qu’ils cherchassent le Seigneur, et qu’ils s’efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. C’est ce qu’ont dit aussi quelques-uns de vos poètes : De lui nous sommes la race … En outre, Dieu prouve aux hommes également son amour, sa miséricorde, et sa puissance afin qu’ils cherchent Dieu pour Le trouver si possible. Paul écrivit aux Romains : « En effet, les (perfections) invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient fort bien depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages » (Romains 1:20). Certains Athéniens cherchaient ce vrai Dieu qu’ils ne connaissaient pas. Paul affirma qu’Il n’est pas loin de chacun de nous. Partout où nous allons Dieu est avec nous. Que nous soyons au temple ou au désert, dans un palais ou dans une cabane, Dieu est présent. « Où irais-je loin de ton Esprit et où fuirais-je loin de ta face ? Si je monte aux cieux, Tu y es ; si je me couche au séjour des morts, T’y voilà. Si je prends les ailes de l’aurore, et que j’aille demeurer au-delà de la mer, là aussi ta main me conduira, et ta main droite me saisira » (Psaumes 139:7-10). Cependant, même si nous cherchons Dieu et si nous L’apercevons dans toute sa création, nous ne pouvons pas Le connaître pleinement par les choses qu’Il a créées. Nous ne pouvons vraiment Le connaître que si nous connaissons Christ, car tous les attributs de Dieu sont manifestés en son Fils Jésus-Christ, sa seule incarnation authentique. « Personne n’a jamais vu Dieu ; Dieu (le Fils) unique, qui est dans le sein du Père, Lui, L’a fait connaître » (Jean 1:18). Jésus a dit : « Celui qui M’a vu, a vu le Père » (Jean 14:9). Dieu n’est pas loin de chacun de nous, car en Lui nous avons la vie. Ces propos sont extraits du poème d’un auteur grec. Paul les cita pour montrer aux Grecs que leur propre littérature faisait déjà référence à ce vrai Dieu. Un autre poète grec avait écrit au sujet de Zeus, le principal dieu des Grecs (Actes 14:12) : « Nous sommes aussi de sa race… » Paul employa donc aussi cette citation pour montrer aux Grecs qu’ils étaient la descendance, non pas de Zeus, mais du seul vrai Dieu. Remarquons la manière dont Paul emploie les mots des poètes païens pour enseigner la vérité. En utilisant des expressions auxquelles les Grecs étaient habitués, Paul pouvait mieux leur expliquer la vérité sur Dieu. 2 Timothée 2:13 Si nous sommes infidèles, lui, il demeure fidèle, car il ne pourra jamais se renier lui-même. Cette parole peut avoir deux sens. Elle peut signifier que si nous trébuchons et tombons dans le péché, Dieu reste fidèle pour nous pardonner et nous purifier, à condition que nous nous repentions (1 Jean 1:9). La deuxième interprétation est la suivante : si nous renions Dieu, Il nous reniera certainement, car Il doit rester fidèle à Lui-même ; Il ne peut accepter celui qui Le rejette (voir Romain 3:3-4). Les deux sens ne sont pas contradictoires ; tous deux sont vrais. Psaumes 139:7-10 Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face ? Si je monte aux cieux, tu y es ; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà. Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer, Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira. Dieu n’est pas seulement omniscient, il est également omniprésent. Il est simultanément présent partout. Mais il ne faut pas confondre cette présence avec le panthéisme. Cette philosophie enseigne que la création est Dieu. La Bible, elle, enseigne que Dieu est une personne séparée et distincte de sa création. Existe-t-il un seul lieu où l’homme pourrait fuir le Saint-Esprit de Dieu ? Y a-t-il un seul endroit où il pourrait être loin de la face de Dieu ? À supposer même que l’homme puisse monter aux cieux, éviterait-il Dieu ? Évidemment pas, car le ciel est le trône de Dieu (Matthieu 5:34). Même s’il se couchait au séjour des morts, dans son état désincarné, il y trouverait encore le Seigneur. les versets 9 et 10 ont une résonance particulière pour le siècle dans lequel nous vivons. Appropriez-vous cette promesse et partagez-la avec vos amis chrétiens. Si je prends les ailes de l’aurore, et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer, là aussi ta main me conduira, et ta droite me saisira. 2Rois 19:14-16 Ezéchias prit la lettre de la main des messagers, la lut et monta à la maison du SEIGNEUR ; Ezéchias la déploya devant le SEIGNEUR. Ezéchias pria devant le SEIGNEUR ; il dit : SEIGNEUR (YHWH), Dieu d’Israël, qui es assis sur les keroubim, c’est toi seul qui es Dieu pour tous les royaumes de la terre, c’est toi qui as fait le ciel et la terre. SEIGNEUR, tends l’oreille et entends ! SEIGNEUR, ouvre les yeux et vois ! Ecoute les paroles de Sennachérib, qui a envoyé son chef d’intendance pour outrager le Dieu vivant. Avec sagesse, Ézéchias prit la lettre … monta au Temple et la déploya devant l’Éternel. Sa prière révéla sa foi profonde en l’Éternel. En réponse, Dieu lui envoya une double réponse par l’intermédiaire d’Ésaïe. Psaumes 60:14
Avec Dieu, nous ferons des exploits ; Il écrasera nos ennemis. 1Samuel 13:16-23, 1Samuel 14:6-14 Saül, Jonathan, son fils, et ceux qui se trouvaient avec eux avaient pris position à Guéba de Benjamin ; les Philistins avaient dressé leur camp à Mikmas. Les troupes de destruction sortirent du camp des Philistins en trois bandes : une bande prit le chemin d’Ophra, vers le pays de Shoual ; une autre bande prit le chemin de Beth-Horôn ; la dernière prit le chemin de la frontière qui domine la vallée de Tseboïm, du côté du désert. On ne trouvait pas de forgeron dans tout Israël ; car les Philistins avaient dit : Que les Hébreux ne fabriquent ni épée ni lance ! Chaque homme en Israël descendait donc chez les Philistins pour aiguiser sa pioche, son soc de charrue, sa hache et sa bêche ; le prix était d’un pim pour les bêches et pour les socs de charrue, d’un tiers de sicle pour affûter les haches et redresser les aiguillons. Au jour du combat, il n’y avait pas d’épée ni de lance pour tous ceux qui étaient avec Saül et Jonathan ; il n’y en avait que pour Saül et Jonathan, son fils. Un poste de Philistins vint s’établir au passage de Mikmas. Jonathan dit au jeune homme qui portait ses armes : Viens, et poussons jusqu’au poste de ces incirconcis. Peut-être l’Eternel agira-t-il pour nous, car rien n’empêche l’Eternel de sauver au moyen d’un petit nombre comme d’un grand nombre. Celui qui portait ses armes lui répondit : Fais tout ce que tu as dans le cœur, n’écoute que ton sentiment, me voici avec toi prêt à te suivre. Hé bien ! dit Jonathan, allons à ces gens et montrons-nous à eux. S’ils nous disent : Arrêtez, jusqu’à ce que nous venions à vous ! nous resterons en place, et nous ne monterons point vers eux. Mais s’ils disent : Montez vers nous ! nous monterons, car l’Eternel les livre entre nos mains. C’est là ce qui nous servira de signe. Ils se montrèrent tous deux au poste des Philistins, et les Philistins dirent: Voici les Hébreux qui sortent des trous où ils se sont cachés. Et les hommes du poste s’adressèrent ainsi à Jonathan et à celui qui portait ses armes : Montez vers nous, et nous vous ferons savoir quelque chose. Jonathan dit à celui qui portait ses armes : Monte après moi, car l’Eternel les livre entre les mains d’Israël. Et Jonathan monta en s’aidant des mains et des pieds, et celui qui portait ses armes le suivit. Les Philistins tombèrent devant Jonathan, et celui qui portait ses armes donnait la mort derrière lui. Dans cette première défaite, Jonathan et celui qui portait ses armes tuèrent une vingtaine d’hommes, sur l’espace d’environ la moitié d’un arpent de terre. Jérémie 29:13-14 (NBS)
Vous me rechercherez et vous me trouverez, car vous me chercherez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous — déclaration du SEIGNEUR — et je rétablirai votre situation ; je vous rassemblerai de toutes les nations et de tous les lieux où je vous ai bannis, — déclaration du SEIGNEUR — et je vous ramènerai en ce lieu d’où je vous ai exilés. Psaumes 46:2 (NBS) Dieu est pour nous un abri et un appui, un secours bien présent dans la détresse. Colossiens 1:21-23 (SEM) Or vous, autrefois, vous étiez exclus de la présence de Dieu, vous étiez ses ennemis à cause de vos pensées qui vous amenaient à faire des œuvres mauvaises ; mais maintenant, Dieu vous a réconciliés avec lui par le sacrifice de son Fils qui a livré à la mort son corps humain, pour vous faire paraître saints, irréprochables et sans faute devant lui. Mais il vous faut, bien sûr, demeurer dans la foi ; elle est le fondement sur lequel vous avez été établis : tenez-vous y fermement sans vous laisser écarter de l’espérance qu’annonce l’Evangile. Cette Bonne Nouvelle, vous l’avez entendue, elle a été proclamée parmi toutes les créatures sous le ciel, et moi, Paul, j’en suis devenu le serviteur. Psaumes 73:26,28 Ma chair et mon cœur peuvent se consumer: Dieu sera toujours le rocher de mon cœur et mon partage. Pour moi, m’approcher de Dieu, c’est mon bien : Je place mon refuge dans le Seigneur, l’Eternel, Afin de raconter toutes tes œuvres. Puissions-nous par la foi et la prière, nous tenir en toute plénitude auprès de Dieu, en Dieu. Ceux qui, d’un cœur pur font confiance à Dieu, auront toujours matière à le remercier pour Ses bénédictions.
Philippiens 4:19 Et mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ. La promesse laissée par Paul dans ce verset est l’une des plus précieuses de toute la Bible : Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Christ-Jésus. Dieu répondra à tous nos besoins, matériels et spirituels. Frères et sœurs, quelqu’un parmi vous est-il dans le besoin ? Qu’il fasse confiance à Dieu et à ses promesses. Dieu a déclaré : « Je répondrai à tous vos besoins » (voir 2Corinthiens 9:8). Dieu les comblera en Christ-Jésus. En dehors de Christ, Dieu ne nous fait aucune promesse. Tous nos besoins sont satisfaits en Christ et par Lui. En plus de Christ, Dieu nous donne gratuitement toutes choses ; mais si nous ne sommes pas en Christ, nous ne recevrons rien (voir Matthieu 6:33 ; Romains 8:32). Dieu nous donne-t-Il avec parcimonie ? Nous accorde-t-Il juste le nécessaire ? Non. Il nous donne selon sa richesse ! (voir Ephésiens 1:3 ; 3:8,20-21). Les glorieuses richesses de Christ sont illimitées. En Lui, elles sont à nous. Gloire à Dieu ! Mais un mot d’avertissement est nécessaire ici. Les richesses, avec gloire, auxquelles Paul fait référence sont avant tout des richesses spirituelles, et non matérielles. Dans le domaine matériel, Dieu a promis de répondre à nos besoins, pas à nos désirs ! Mais dans le domaine spirituel, Dieu est prêt à répandre ses bienfaits en abondance. Esaïe 26:3 A celui qui est ferme dans ses sentiments Tu assures la paix, la paix, Parce qu’il se confie en toi. 1Pierre 5:7 Déchargez-vous sur lui de toutes vos inquiétudes, car il prend soin de vous. A propos d'Esaïe 26:3, le compositeur baptiste américain Philipp P. Bliss avait l’habitude de dire : J’aime ce verset plus que tout autre dans la Bible : « A celui qui est ferme dans ses sentiments tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi » {1}. Moody associait les versets 3 et 4 en disant : « L’arbre de la paix plonge ses racines dans les fentes du rocher des siècles » {2}. Les fidèles comprennent que la force éternelle se trouve en l’Éternel, le rocher des siècles. C’est dans ce passage qu’Auguste Toplady a puisé son inspiration pour ce qui est devenu un des grands cantiques chrétiens. C’est en cherchant à s’abriter dans la fente d’un rocher durant un violent orage qu’il écrivit : Roc séculaire, frappé pour moi Sur le Calvaire, je viens à toi. Tu sais mes chutes, ô mon Sauveur, Tu vois les luttes et ma douleur. Dans la détresse, sois mon berger, Ma forteresse dans le danger. Et qu’à toute heure, que chaque jour Mon cœur demeure en ton amour. _____ {1} Cité par Moody dans Notes from my Bible, p. 86. {2} Ibid. Jean 14:21 Celui qui m’aime, c’est celui qui a mes commandements et qui les garde. Or celui qui m’aime sera aimé de mon Père ; moi aussi je l’aimerai et je me manifesterai à lui. Romains 12:1 Je vous encourage donc, mes frères, au nom de toute la magnanimité de Dieu, à offrir votre corps comme un sacrifice vivant, saint et agréé de Dieu ; voilà quel sera pour vous le culte conforme à la Parole. Une invitation du chrétien à obéir L'apôtre Paul invite le chrétien à obéir. A- Comment présente-t-il l’invitation ? « Je vous exhorte ». L’apôtre ne donne pas un ordre sec, mais une supplication. Le service altruiste accompli par amour ne se commande pas. C’est pourquoi Paul emploie le langage de la grâce (cf. 1Corinthiens 4:16; Ephésiens 4:1; 1Timothée 2:1. À l’inverse, voir Luc 12:20). B- À quoi le croyant est-il invité ? A offrir son corps « comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu ». Notons : (1) Le croyant doit offrir son corps. Dieu ne s’intéresse pas en priorité à notre temps, à nos talents ou à nos biens. Le seul don qui puisse satisfaire le Créateur et Rédempteur, c’est le corps de sa créature rachetée ! (Cf. 1Corinthiens 3:16 ; 6:19-20; 2Corinthiens 8:5). (2) C’est un corps vivant. Il est parfois plus facile de mourir pour le Seigneur que de vivre pour lui. (3) C’est un corps vivant et saint (séparé). C- Pourquoi est-il invité à le faire ?
Notons : (a) Au pécheur Dieu dit : « Venez donc et plaidons, dit l’Éternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme l’écarlate, ils deviendront comme de la laine » (Esaïe 1:18). La seule attitude pour le pécheur consiste à donner son cœur à Dieu. (b) Au croyant Dieu dit : « Offre ton corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de ta part un culte raisonnable ». La seule attitude qui convient pour le chrétien est d’offrir son corps à Dieu. D- Quels sont les résultats de l’obéissance à cette invitation ?
2Corinthiens 5:17 Si quelqu’un est dans le Christ, c’est une création nouvelle. Ce qui est ancien est passé : il y a là du nouveau. Galates 2:20 Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi ; ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Ce verset, 2Corinthiens 5:17, contient l’une des plus grandes affirmations du Nouveau Testament. Aucune autre religion n’enseigne qu’un être humain peut devenir une nouvelle créature. C’est pourtant ce que devient celui qui est en Christ. Sa vieille nature meurt et fait place à une nouvelle (voir Jean 3:3 ; Romains 6:8). Les mots les plus importants de ce verset sont « dans le Christ » ou « en Christ » selon les différentes traductions. Être en Christ, c’est avoir la foi en Lui, Lui obéir, L’aimer, Le connaître de façon personnelle et faire de Lui le Seigneur de notre vie. De même que le sarment est attaché au cep, nous devons être « en Christ » (voir Jean 15:4-6). Si nous sommes en Christ, Christ sera en nous ; et par son Esprit qui vit en nous, nous deviendrons de nouvelles créatures (Romains 8:11). Pour que la nouvelle créature, notre nouvelle vie spirituelle se forme, il faut que l’ancien Moi, « le vieil homme pécheur » meure (Romains 6:6 ; Galates 5:24). Nous devons nous dépouiller du vieil homme (Ephésiens 4:22). Avant de recevoir un nouveau cœur, l’ancien cœur pécheur doit être ôté (Ezékiel 11:19). Avant l’apparition des nouvelles feuilles, il faut que les anciennes tombent. Pour être une « nouvelle créature », nous devons être en Christ. Dès lors, nous devons nous débarrasser de nos anciens désirs et de nos vieilles habitudes. Les choses anciennes sont passées ; voici : (toutes choses) sont devenues nouvelles. Si notre vie est encore remplie des péchés et des mauvaises pratiques d’autrefois, comment pouvons-nous prétendre être une nouvelle créature ? Si nous nous examinons honnêtement, pouvons-nous dire que nous sommes effectivement une nouvelle créature ? Notre vie et notre conduite portent-elles la marque d’une nouvelle création ? Si ce n’est pas le cas, la raison est que nous ne sommes pas en Christ. Que chacun s’examine soi-même ! Matthieu 18:20 Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux. 1Jean 1:7 Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. ![]()
Les conditions requises pour cette communion
Philippiens 4:6-7 Ne vous inquiétez de rien ; mais, en tout, par la prière et la supplication, avec des actions de grâces, faites connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute pensée, gardera votre cœur et votre intelligence en Jésus-Christ. Jean 15:7 Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. Un chrétien peut-il ne s’inquiéter de rien ? Oui, tant qu’il peut prier avec foi. La suite du verset explique comment il peut être libéré de l’inquiétude coupable. Il faut tout apporter à Dieu dans la prière. En toute chose signifie vraiment tout. Rien n’est trop grand ni trop petit pour ses tendres soins ! La prière est à la fois un acte et une disposition. Nous venons au Seigneur à des moments précis lui apporter des requêtes particulières. Mais nous pouvons aussi vivre dans une atmosphère de prière. Il est possible de vivre dans une attitude, une atmosphère de prière. Dans ce verset, le mot « prière » peut signifier l’esprit de prière dans lequel baigne notre vie, alors que celui de supplications désigne les besoins ponctuels que nous présentons au Seigneur. Notons qu’il faut faire connaître nos besoins à Dieu, avec des actions de grâces. Quelqu’un avait résumé ce verset ainsi : « Ne nous inquiétons de rien, prions pour toutes choses et soyons reconnaissants pour chaque chose ». Proverbes 12:27 Le paresseux ne fait pas rôtir son gibier, mais ce que l’homme diligent a acquis, lui est précieux. Proverbes 18:9 Celui qui se relâche dans son travail Est frère de celui qui détruit. À l’époque où ces proverbes furent écrits, la chasse n’était pas un sport, mais une nécessité pour vivre. Cet homme a donc pris son arc et ses flèches et a même tué un chevreuil ou autre chose, mais il avait la flemme de le dépecer et de faire cuire la viande. Dans notre contexte actuel, on pourrait imaginer quelqu’un qui meurt de faim et part à la pêche. Il attrape bien du poisson, mais il a la flemme de l’apprêter pour le manger. Alors, il va faire la sieste à l’ombre. Ce proverbe suggère aussi qu’une des caractéristiques des paresseux est qu’ils accordent peu ou pas de valeur à ce qu’ils possèdent tandis que l’homme diligent apprécie, utilise et maintient en bon état ce qu’il a. Dans l’histoire de Ruth que raconte un livre de l’Ancien Testament, cette femme est allée glaner derrière les moissonneurs toute une journée, du petit matin au grand soir, sous un soleil de plomb. Elle amassa ainsi une énorme quantité d’épis. Elle aurait alors pu demander à sa belle-mère Naomi de faire le reste ; après tout ne serait-ce pas la moindre des choses ? Mais pas du tout ! C’est Ruth qui a tout décortiqué parce que le travail, même long et pénible, ne lui faisait pas peur. Cette femme est un exemple à suivre. Vous n’êtes peut-être pas bon cuisinier, mais tout le monde peut participer aux tâches ménagères ; faire la vaisselle ou passer l’aspirateur ne devrait pas être l’exclusivité de la même personne. 1 Jean 5:13 Je vous l’ai écrit pour que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui mettez votre foi dans le nom du Fils de Dieu. Jean 5:24 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. Le verset de 1 Jean 5:13 enseigne une vérité fort précieuse : l’assurance du salut est donnée au moyen de la Parole de Dieu. Jean écrivit cette épître afin que nous sachions que nous avons la vie éternelle. En d’autres termes, les Ecritures furent écrites afin que ceux qui croient au Seigneur Jésus aient l’assurance qu’ils sont sauvés. Inutile d’espérer, ou de deviner, ou de sentir, ou de tâtonner dans l’obscurité ! Affirmer être sauvé ne revient pas à faire preuve de présomption. Jean affirme de la façon la plus claire que ceux qui croient vraiment au Seigneur Jésus peuvent savoir qu’ils ont la vie éternelle. Comment recevoir la vie éternelle et échapper ainsi au jugement ? Jean 5:24 Il s’agit de l’un des versets de l’Evangile les plus aimés de toute la Bible. En effet des multitudes ont reçu la vie éternelle par son moyen. Sans nul doute ce verset est très apprécié car il présente le chemin du salut avec une grande clarté. Le Seigneur Jésus commença ce passage par ces mots : En vérité, en vérité, attirant ainsi l’attention sur ce qui allait suivre. Puis Il ajouta l’annonce très personnelle : je vous le dis. Le Fils de Dieu s’adresse à nous de façon très personnelle et très intime. … celui qui écoute ma parole … Ici écouter la parole de Jésus ne signifie pas seulement l’entendre, mais aussi la recevoir, y croire, et lui obéir. Beaucoup de personnes entendent la prédication de l’Evangile, sans plus. Le Seigneur affirme ici que nous devons accepter son enseignement comme divin, et croire qu’Il est vraiment le Sauveur du monde. … et qui croit à Celui qui m’a envoyé … Il s’agit de croire Dieu. Cela signifie-t-il que l’on est sauvé simplement en croyant Dieu ? Un grand nombre professent croire en Dieu, pourtant ils ne se sont jamais convertis. Selon ce verset il faut croire Dieu, qui a envoyé le Seigneur Jésus dans le monde. Que devons-nous croire ? Que Dieu a envoyé le Seigneur Jésus pour être notre Sauveur. Il nous faut croire ce que Dieu dit concernant le Seigneur Jésus, et précisément qu’Il est le seul Sauveur et que nos péchés ne peuvent être ôtés que par son œuvre au Calvaire. … a la vie éternelle … Remarquez qu’il n’est pas écrit qu’il « aura la vie éternelle », mais qu’il l’a dès à présent. La vie éternelle est la vie du Seigneur Jésus-Christ. Il ne s’agit pas seulement d’une vie qui n’aura pas de fin, mais aussi d’une qualité de vie supérieure. C’est la vie du Sauveur qui est donnée à ceux qui croient en lui. C’est la vie spirituelle que reçoit tout homme né de nouveau, en opposition à la vie naturelle qu’il reçoit à la naissance. … et ne vient point en jugement … Lorsque nous croyons, nous ne sommes plus condamnés et ne le serons jamais plus à l’avenir. Quiconque croit au Seigneur Jésus échappe au jugement parce que Christ a payé au Calvaire le châtiment que méritaient ses péchés. Dieu ne demandera pas deux fois le paiement de cette dette. Christ l’a payée en tant que notre Substitut, et cela est suffisant. Il a achevé l’œuvre, et l’on ne peut rien ajouter à une œuvre achevée. Le chrétien ne sera jamais puni à cause de ses péchés. D’autres passages enseignent que le croyant se tiendra un jour devant le tribunal de Christ (Romains 14:10 ; 2Corinthiens 5:10). Cependant, à cette occasion, il ne sera pas puni pour ses péchés, car cette question a été réglée au Calvaire. Lors du tribunal de Christ, la vie et le service du croyant seront passés en revue, et par suite, il recevra des récompenses ou subira des pertes. Ce jugement ne concernera nullement le salut de son âme mais la fécondité de sa vie. … mais il est passé de la mort à la vie. Quiconque croit en Christ est passé de la mort spirituelle à la vie spirituelle. Avant la conversion, il était mort par ses offenses et par ses péchés, mort pour ce qui concerne l’amour envers Dieu ou la communion avec le Seigneur. Quand il met sa confiance en Jésus-Christ, le Saint-Esprit vient demeurer en lui et il possède la vie divine. Ephésiens 2:8-9 C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. Tite 3:5 Il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit. Les trois versets constituent une des déclarations les plus claires du plan du salut, dans toute sa simplicité, que nous puissions trouver dans la Bible. Tout prend son origine avec la grâce de Dieu : Il prend l’initiative en y pourvoyant. Le salut est donné à ceux qui en sont entièrement indignes, sur la base de la personne et de l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ. Il est donné comme une possession présente. Ceux qui sont sauvés peuvent le savoir. En écrivant aux Ephésiens, Paul dit : Vous êtes sauvés. Il le savait, et eux aussi. La manière dont nous recevons le don de la vie éternelle est par le moyen de la foi. La foi signifie que l’homme se reconnaît comme pécheur coupable et perdu, et qu’il reçoit le Seigneur Jésus comme sa seule espérance de salut. La foi authentique qui sauve est l’engagement de quelqu’un envers une personne. Toute idée que l’homme puisse gagner ou mériter le salut est exclue par les mots cela ne vient pas de vous. Les morts ne peuvent rien faire, et les pécheurs ne méritent rien d’autre que le châtiment. C’est le don de Dieu. Un don, bien sûr, est un cadeau gratuit et inconditionnel. C’est la seule base sur laquelle Dieu offre le salut. Le don de Dieu est le salut par grâce et par le moyen de la foi. Il est offert à tout homme, où qu’il se trouve. Ephésiens 5:3 Que l’inconduite sexuelle, l’impureté sous toutes ses formes ou l’avidité ne soient pas même mentionnées parmi vous, comme il convient à des saints. 1 Pierre 2:11 Bien-aimés, je vous encourage, comme des exilés et des étrangers, à vous abstenir des désirs de la chair qui font la guerre à l’âme. L'apôtre Paul mentionne l’inconduite, l’impureté et l'avidité ou la cupidité. Il ne se contente pas de demander aux éphésiens de ne plus pratiquer ces péchés ; il va plus loin et leur dit d’en faire disparaître la moindre trace ; ces perversions ne devraient même plus être mentionnées parmi eux. Étant enfants de Dieu, nous avons été sanctifiés ; d’où la nécessité qui nous est imposée de mener des vies saintes. Dès que nous sommes tentés de faire quelque chose d’impur, souvenons-nous de notre identité. Nous sommes le saint peuple de Dieu, les enfants du Père céleste. Si nous gardons ces vérités à l’esprit, elles nous aideront à surmonter les tentations. À chacun de nous, Dieu déclare : « Tu es mon enfant ; agis donc comme tel » (voir 2 Corinthiens 6:17-18). Philippiens 2:3-4 Ne faites rien par ambition personnelle ni par vanité ; avec humilité, au contraire, estimez les autres supérieurs à vous-mêmes. Que chacun, au lieu de regarder à ce qui lui est propre, s’intéresse plutôt aux autres. 1Pierre 5:5-6 De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d’humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles. Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu’il vous élève au temps convenable. Pour préserver notre unité, la vertu la plus nécessaire est l’humilité. Chaque fois qu’il y a des divisions entre frères et sœurs dans l’église, il faut en chercher la cause principale dans l’orgueil. Ce vice passe souvent inaperçu dans notre esprit, c’est pourquoi nous ne nous en rendons pas compte. C’est pourtant à cause de lui que nous blessons les autres. C’est aussi à cause de lui que nous nous sentons blessés par les autres. C’est en raison de notre orgueil que nos sentiments sont froissés et que nous nous sentons rabaissés. Il est la principale cause des dissensions (voir Ephésiens 4:2). Il ne suffit pas de considérer les autres comme égaux à nous-mêmes ; nous devons les estimer supérieurs (voir Romains 12:10). Soyons sévères envers nous-mêmes et envers nos fautes, mais montrons-nous miséricordieux et compréhensifs à l’égard des péchés et des faiblesses de nos frères. Jean 13:34-35 (BFC) Je vous donne un commandement nouveau : aimez-vous les uns les autres. Il faut que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés. Si vous vous aimez les uns les autres, alors tous sauront que vous êtes mes disciples. 1Jean 3:18 (BFC) Mes enfants, n’aimons pas seulement en paroles, avec de beaux discours ; faisons preuve d’un véritable amour qui se manifeste par des actes. L’amour véritable vient du cœur, de notre for intérieur ; mais il s’extériorise par des œuvres charitables. Si ce n’est pas le cas, notre amour n’est pas vrai (voir Jacques 1:22; 2:14-17). Proverbes 3:9-10 Honore l’Eternel en lui donnant une part de tes biens et en lui offrant les prémices de tous tes revenus. Alors tes greniers regorgeront de nourriture et tes cuves déborderont de vin. 2 Corinthiens 9:6-7 Rappelez-vous : Semence parcimonieuse, maigre récolte. Semence généreuse, moisson abondante. Que chacun donne ce qu’il aura décidé en son cœur, sans regret ni contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie. Le disciple doit savoir que le respect dû à Dieu comporte des offrandes de la part de ses adorateurs. Les biens dont il honorera Dieu seront sa fortune ou son revenu. Il ne doit pas craindre d’en subir une perte (cf. Malachie 3:10-12). L’enseignement se sert d’images agricoles. La mention des prémices nous reporte à la loi de Deutéronome 26, où nous voyons le fidèle apporter les prémices de ses récoltes et se souvenir avec joie et gratitude de la rédemption d’Israël comme de la bonté constante de Dieu envers son peuple : c’était la Fête des Récoltes de l’Ancien Testament. Aussi doit-il donner avec abondance et non seulement un peu. Le principe de récolter ce qui a été semé (Proverbes 11:24 s. ; 19.17) est appliqué dans Galates 6:7-10 à une moisson spirituelle, et dans Matthieu 6:14 s. au pardon ; cf. Matthieu 7:12; 10:42 ; Luc 6:34-38. Ne perdons pas de vue la leçon agricole : le paysan ne récolte pas la même quantité que celle qu’il a semée, mais beaucoup plus. Il en est de même de la libéralité chrétienne. On ne récupère pas ce qu’on a donné, mais infiniment au-delà. Evidemment la récompense ne vient pas tellement sous forme d’argent, mais sous celle de bénédictions spirituelles. Marc 10:45 Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs. 2 Corinthiens 4:5 Nous ne nous prêchons pas nous-mêmes ; c’est Jésus-Christ le Seigneur que nous prêchons, et nous nous disons vos serviteurs à cause de Jésus. Le Fils de l’homme, Jésus-Christ, a donné l’exemple suprême. Il est venu non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de beaucoup. Pensons-y ! Il est venu par une naissance miraculeuse. Il a servi toute sa vie. Et Il a donné sa vie sur la croix, en substitution de la nôtre. C'est le verset-clé de cet Evangile. Il est à lui seul un résumé de toute une théologie ; il brosse le portrait de l’homme le plus extraordinaire que la terre ait jamais porté. 1 Corinthiens 15:58 Mes chers frères, soyez fermes, ne vous laissez pas ébranler, travaillez sans relâche pour le Seigneur, sachant que la peine que vous vous donnez au service du Seigneur n’est jamais inutile. Hébreux 12:3 Considérez en effet celui qui a enduré une telle opposition de la part des pécheurs, pour que vous ne vous lassiez pas, par découragement. SUJETS DE DISCUSSION
1 Jean 2:15-16 N’aimez pas le monde ni ce qui est dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, il n’aime pas Dieu le Père. Voici ce qu’on trouve dans le monde : les mauvais désirs que chacun porte en soi, l’envie de posséder ce qu’on voit, et l’orgueil qui vient de la richesse. Eh bien, tout cela ne vient pas du Père, mais du monde. Romains 2:2 Oui, nous le savons, Dieu juge avec vérité ceux qui agissent ainsi. « Le monde tente le chrétien par la convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l’orgueil de la vie. Dès que le monde a réussi à le séduire dans un de ces domaines, le chrétien s’en rend immédiatement compte. Il perd la joie que lui procurait l’amour du Père et n’a plus le désir d’accomplir la volonté de Dieu. La lecture biblique devient ennuyeuse et la prière pénible. Même les rencontres avec les autres chrétiens lui pèsent et le déçoivent. La raison de ce changement n’est pas à chercher en dehors du chrétien, mais en lui, car c’est dans son cœur que le mal s’est glissé ». Luc 9:23
Jésus dit à tous : Si quelqu’un veut venir avec moi, qu’il cesse de penser à lui-même, qu’il porte sa croix chaque jour et me suive. ***** Le sacrifice de soi est un thème qui revient constamment dans l’enseignement de Christ à ses disciples (cf. Luc 14:26-27 ; Matthieu 10:38 ; Matthieu 16:24 ; Marc 8:34 ; Jean 12:24-26). Par là, Jésus n’entendait pas l’obligation de mener une vie ascétique dans l’isolement, mais une volonté d’obéir à ses commandements, de servir son prochain et d’accepter la souffrance voire la mort - pour son nom. |